"Que
les hommes écartent leurs nostalgies. seul le travail peut assurer leur
nourriture depuis que les Dieux irrités les ont privés de le leurs anciennes
faveurs. A l'âge d'or ils en étaient dispensés, les hommes à l'âge du fer
doivent travailler s'ils veulent vivre." Si travailler c'est gagner sa vie, aujourd'hui, quand son effectuation devient problématique dans un certain nombre de milieux de travail, se réactualise la proposition de : "ne pas perdre sa vie à la gagner". En effet, gagner sa vie n'est pas donné et peut parfois conduire à la perdre même dans les conditions modernes de production des pays industrialisés où de nouvelles contraintes viennent mettre en avant une forme "d'usure mentale" au travail propre aux conditions de sa réalisation et une montée en charge de certaines formes d'atteintes somatiques comme les troubles musculo-squelettiques (TMS) (Selon l'assurance maladie, les TMS sont en France la première cause de reconnaissance de maladie professionnelle) Perdre sa vie par accident de
travail ou suite à maladie professionnelle n'est pas nouveau mais la
perdre quand les conditions de son effectuation sont vécues comme
insupportables, cela ne fait plus exception : en 2008, c'est 400
suicides qui seraient liés au travail, bien que ce chiffre soit
forcément approximatif ce qui est certain c'est que le suicide en lien
avec le travail est une donnée qui interroge sur les mutations de ces
dernières années : Le suicide,
l'expression la plus désespérée d'un insupportable à vivre, est la face extrême d'un
malaise, la plus manifeste. A plus bas bruit il se remarque aussi
: insomnies, fatigue lancinante voire épuisement, craintes
incessantes jusqu'à la peur paralysante, maux de tête, tensions,
irritabilité, incapacité à se concentrer, jusqu'à la perte du sens
au travail puis à la perte de toute envie... S'il n'est pas empêché le travail offre la possibilité d'affirmation de soi, de déploiement subjectif. A contrario, il peut être asservissant, aliénant et ouvrir à la décompensation sous des formes psychiques et somatiques. De plus en plus de femmes et d’hommes ont du mal à continuer à
travailler. La consultation, un lieu extérieur, neutre, confidentiel.
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Notre consultation "souffrance psychique et travail". .
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